J391 – USA
PORTLAND
Réveillé : 6h
Météo : nuageux, pluie ~ 10°C
État physique : au top
Moral : au top
Couché : 21h30
Menu du jour: Fruits (poires, pommes), Légumes (poivron, carottes) Hydrates de carbone (tortilla, riz, pomme de terre, barres de céréales), Protéines (lait demi-écrémé, œufs, fromage), Graisses (huile d’olives), Divers (pollen).
Résumé de l’étape: Ce matin Sara m’a amené à la piscine. La dernière fois que Picirelo a eu l’occasion de nager remonte à…Mexico (dans un Pacifique chaud)…pas vraiment la porte à côté.
Vers midi je l’ai accompagné au travail. Par la suite Picirelo a eu toute l’après-midi pour vagabonder dans le centre ville.
Il y a au moins 5 ponts qui relient le centre ville à la périphérie.
Dans la rivière, l’armée exhibe quelques vieux navires de combat, pour le grand plaisir des amoureux de l’armée…ce n’est pas ce qui manque aux USA.
Le centre est très propre, il y a des clochards (comme dans toutes les grande villes) seulement qu’ici, ils n’ont pas la vie facile, du à l’impitoyable météo.
Je présume qu’ils doivent augmenter d’un cran, leur consommation d’alcool.
Le parc devant l’université est splendide, un endroit très calme et verdoyant…ce n’est pas dans les arrosoirs qu’il faut investir à Portland.
De retour à la maison je me suis rencontré avec Douglas et nous sommes allés courir.
Un exercice que je n’ai plus du tout pratiqué, depuis ma blessure à la cheville au Costa Rica.
Picirelo court toujours avec la même aisance, un peu lent, mais ravi de voir que la cheville est complètement guérie. Nous avons fini la soirée, à trois, autour d’un copieux dîner.
Demain il faudra que je me remette sur orbite, c’est la dure loi des satellites…
Il y a au moins 5 ponts qui relient le centre ville à la périphérie.
Dans la rivière, l’armée exhibe quelques vieux navires de combat, pour le grand plaisir des amoureux de l’armée…ce n’est pas ce qui manque aux USA.
Le centre est très propre, il y a des clochards (comme dans toutes les grande villes) seulement qu’ici, ils n’ont pas la vie facile, du à l’impitoyable météo.
Je présume qu’ils doivent augmenter d’un cran, leur consommation d’alcool.
Le parc devant l’université est splendide, un endroit très calme et verdoyant…ce n’est pas dans les arrosoirs qu’il faut investir à Portland.
De retour à la maison je me suis rencontré avec Douglas et nous sommes allés courir.Un exercice que je n’ai plus du tout pratiqué, depuis ma blessure à la cheville au Costa Rica.
Picirelo court toujours avec la même aisance, un peu lent, mais ravi de voir que la cheville est complètement guérie. Nous avons fini la soirée, à trois, autour d’un copieux dîner.Demain il faudra que je me remette sur orbite, c’est la dure loi des satellites…
