mardi 11 décembre 2007

J213 – PEROU

CUSCO – CITY TOUR
Réveillé :
5h
Météo : soleil
État physique : bien
Moral : au top
Couché : 21h50

Menu du jour: Fruits (pommes), Légumes (carottes, tomates, ail, petit-pois frais) Hydrates de carbone (pain blanc maison, maïs cuit), Protéines (fromage, lait écrémé), Graisses (huile d’olive), Divers (tamales).

Résumé de la journée: Un rapide passage dans un point internet pour envoyer quelques mails, avec un retard impossible de quantifier. En suite le déménagement dans l’hostal sans nom, où j’ai été le premier client. Ceci, avant de trouver une agence avec laquelle je ferai les deux visites guidées qu’on fait habituellement. Le City Tour et La Vallée Sacrée des Incas (prévue pour demain).

Il faut acheter à l’Office du Tourisme un ticket général, qui donne accès à plusieurs sites et musées.
Un peu d’ombre, ça ne fait pas de mal, surtout quand on est accoutré pareillement.
Qoricancha, ou le site de l’or, en quechua. Ici commence le tour guidé de la ville, qui se fait avec un minibus d’une vingtaine de personnes.
Le guide donne des explications en espagnol et anglais.
Saqsayhuaman. La ville de Cusco, considérée le centre du monde par les Incas, avait été construite sous la forme d’un puma.
Comme c’était la capitale de la culture Inca il fallait qu’elle symbolise le pouvoir. Ici on a encore quelques parties de la tête.
Il ne reste plus que 20% du temple. Le reste a été détruit afin de construire les églises, la cathédrale et certaines maisons dans la ville, pendant l’occupation espagnole.
La ville a 300 mille habitants, mais elle ne cesse pas de grandir. On construit beaucoup actuellement sur les collines qui l’entourent.
Pour garder son intégrité culturelle, il est strictement interdit d’ériger des constructions modernes dans le centre historique de la ville.
Q’enco. L’ombre de ce rochet, projetée sur la paroi adjacente, a l’aspect d’un puma.
Ceci se passe que pendant la saison sèche, à partir du 21 juillet.
Puka Pukara. La forteresse rouge, c’était un point de contrôle, ainsi qu’un centre administratif militaire.
Tambomachay. On est à 3700m. Selon la légende, si on se lave le visage avec cette eau, on reste éternellement jeune. Comme Picirelo est déjà à moitié vieux, ce ne fut pas la peine de le mouiller, surtout qu’il était déjà, assez congelé. Ici finit la visite.
De retour en ville j’ai visité l’Eglise Compañia de Jesus.
Avant de retourner à la pension me réchauffer avec une douche…presque froide...