vendredi 26 octobre 2007

J167 – BRESIL

FOZ IGUACU
Réveillé :
4h20
Météo : pluie
État physique : au top
Moral : au top
Couché : 22h

Menu du jour: Fruits (mandarines), Hydrates de carbone (riz intégral, pain intégral), Protéines (ricotta, lait demi-écrémé), Graisses (huile d’olive), Divers (empanadas au poulet, jus de tomates).

Résumé de la journée: Encore charmé par le spectacle d’hier je me dépêche prendre le bus, pour voir la partie brésilienne du parc (gauche sur ce plan).

Les circuits dans le Parc National d’Iguazú.
C’est sur cette petite plage, de l’Ile San Martin, que mon slip est en train de sécher…
Je me rends compte maintenant, que je l’ai oublié après la baignade d’hier.
A l’arrêt du bus je fais la connaissance d’un ibérique de Madrid, Emiliano. Venu de Sao Paulo pour visiter les chutes.
En suite il continuera son voyage à travers le Brésil, en allant vers le nord.

On se met à parler et finalement on reste ensemble jusqu’à la fin de la visite.
Il est tellement sympathique que même les papillons le colle, ou peut-être ici, ils ont le sens de ce qui est de valeur. Sur mon appareil photo même les fourmilles ne veulent pas se pauser.
La Garganta del Diablo, vue depuis la rive brésilienne.
On arrive gentiment à la fin du parcours, nettement plus court que celui d’hier. On peut dire que Picirelo a eu réellement un jour de repos aujourd’hui. C’est pas du tout le cas pour ma cervelle, des milliers de choses s’entremêlent.
Demain je franchirai la frontière, avec le vélo, pénétrant dans un territoire, où tout le monde me dit, que je vais y laisser ma peau…ou au mieux on va me laisser à poil.
En fin, que puis-je faire ? Si ce n’est que suivre mon chemin de la même manière que la rivière Iguazú suive le sien…
Mais…chaque jour avec sa peine…
…et aujourd’hui je suis aux portes du Paradis...profit-on donc…
Cliker sur cette photo pour voir l’album Picasa avec les autres photos.
De plus c’est l’anniversaire d’un de mes meilleurs amis, Salvatore.
Que je lui offre cette splendide photo.
Vu que tu aime tant les brésiliennes, voici tout un groupe qui te dit en même temps que moi :
- Bon Anniversaire Osso di Cane.
C’est drôle que je sois pour la première fois de ma vie, dans ce pays, que tu dois avoir au cœur…tout particulièrement…le jour de ton anniversaire.
Je ne sais pas quel temps Genève t’a réservé pour aujourd’hui…mais comme tu peux te rendre compte, ici tu aurais été gâté.