dimanche 14 octobre 2007

J155 – ARGENTINE

MOCORETA – MONTE CASEROS
Réveillé : 4h15
Départ : 9h
Distance parcourue : 76 km
Distance totale : 8798 km
Temps : 4h30
Météo : soleil
État physique : au top
Moral : au top
Couché : 21h30

Menu du jour: Fruits (oranges), Légumes (carottes, poivron, persil, ail, oignon, tomate), Hydrates de carbone (pain intégral, All-Bran, biscottes intégrales, polenta, mais soufflé), Protéines (lait écrémé, fromage light), Graisses (huile d’olive).

Résumé de l’étape: Picirelo se met en route tôt ce matin, le manque de possibilités de se loger nous oblige peut-être à faire beaucoup de kilomètres. Il fait beau mais froid et il y a du vent.

Le parcours : Mocoreta – Monte Caseros.
De loin, j’ai vu un troupeau d’autruches au bord de la route, mais dès qu’ils m’ont aperçu ils se sont sauvés. J’ai réussit quand même à prendre en photos un retardataire.
La circulation est plus calme dans la Ruta 14 car c’est dimanche, bien qu’ici les camions ont le droit de circuler le week-end.
Le vent de face toute la journée, Picirelo n’avance pas comme hier. Il faut changer de plan.
On prend la route 129 qui nous mène à Monte Caseros, l’unique ville dans la région.
Le nid d’un petit oiseau, dont j’ignore le nom, construit avec de la boue mélangée avec des brindilles de paille. C’est sacrement robuste, on dirait du ciment.
Dernier pont avant de rentrer dans la ville. Il n’y presque pas de circulation, à se demander s’il y a vraiment une ville plus loin.
Comment savaient ils que j’allais passer par ici ? Merci pour l’accueil.
Un monument érigé en honneur aux travailleurs du chemin de fer, qui ont perdu leur travail (symbolisé par le manque de vêtements) dans les années 40…
Me raconte Pablo, un gentil habitant de cette ville, qui m’accompagne en moto à la recherche d’un hôtel.
A cette époque, étant donné que le réseau du chemin de fer n’était pas rentable, le gouvernement a décidé de l’abandonner. Ceci dit en Argentine il n’y a pas vraiment de train.
J’ai dormi à l’Hôtel Monte Caseros (tel.03775423910).