vendredi 5 octobre 2007

J146 – ARGENTINE

BUENOS AIRES (J3)
Réveillé :
4h20
Météo : pluie
État physique : au top
Moral : au top
Couché : 22h

Menu du jour: Légumes (poivrons, épinards, betterave), Hydrates de carbone (galettes de riz, blé soufflés intégral, pain intégral), Protéines (saumon, jambon, fromage, lait entier), Graisses (huile), Divers (Coca-Cola light).

Résumé de la journée: Vers 5h du matin il a commencé à pleuvoir très fort, elle me semble bien compromise ma visite de Buenos Aires d’aujourd’hui. A 10h je profite d’une accalmie pour mettre le nez dehors.

Le grand stade de Buenos Aires (capacité de 80.000 personnes).
J’étais en train de me dire : - les pauvres poussins ils vont mourir de froid pendant l’hiver.
Sur le moment j’ai complètement oublié, qu’on est au printemps.
Ce parc est un des poumons de la ville (Lago de Regatas).
Il faut savoir que presque la moitié de la population de l’Argentine vie dans la province de Buenos Aires. Mais dans la Ciudad Autonóma de Buenos Aires il y a seulement 12 millions d’habitants. Cette ville qui fut déclarée capitale en 1880 a connue une croissance spectaculaire a la fin du XIX siècle et au début du XX siècle avec l’arrivé massive des immigrants. La majorité des italien (~30%), espagnols (~30%), anglais, polonais etc., ce qui donne à la vile une diversité architectonique et culturelle qui la caractérise.
Dans la ville même, il y même un terrain de golf, de polo, un hippodrome, un aéroport etc.
Je ne sais pas s’il y a beaucoup de villes au monde qui peuvent s’offrir ce luxe.
Le ciel devient de plus en plus lourd.
Un rapide passage dans les cartiers de luxes de la ville.
Ici on a une tranquillité particulière, qui évidement impose son prix…
Il commence à pleuvoir. Dans mon voyage précédent j’ai eu l’occasion de visiter pendant 4 jours (avec soleil) à pied, cette immense ville.
Un jour, si j’ai le temps, je vais insérer les photos faites en janvier 2007.
Pas de chance, mon chevalier, il faut vite aller se réfugier.
Mais qu’est ce qu’il fait celui-là au milieu de la route ?
Comme quoi, il en a…qui n’ont pas la chance...
…d’avoir une couronne protectrice.