mardi 2 octobre 2007

J143 – ESPAGNE

MADRID
Réveillé : 5h30
Météo : soleil
État physique : au top
Moral : au top
Couché : 2h30

Menu du jour: Fruits (pommes), Légumes (carottes, poivrons, asperge, salade), Hydrates de carbone (pain intégral), Protéines (saumon, yogourts nature, thon), Graisses (huile d’olive, noix).

Résumé de la journée: Un peu de stress ce matin. Il faut accompagner Claudia au métro (à 6h) en suite se mettre au travail. Pendant ces jours je n’ai pas eu le temps, et la force, de m’occuper du blog et certains retards, dans mon « mouvement perpétuel », peuvent devenir irrécupérables.
Au dernier moment je reçois un email d’un couple que j’avais rencontré en vélo, au précédent voyage en Argentine, qui me dit qu’ils vont venir m’attendre à l’aéroport d’Ezeiza (Buenos Aires).
C’est magique, comment je pourrais vous expliquer, un jour, certaines choses, qui se passent avec ce Picirelo ?

Le responsable de l’Hostal Alguilar (tel.0034914295926) me donne les derniers conseils pour aller à l’Aéroport en vélo, sans prendre le risque de se trouver sur une avenue à grand trafique.
La plus simple solution dans ce cas c’était de prendre l’Avenue Alcala. Voici, la dernière photo de Madrid. La Plaza de Toros.
En suite, arrivé à l’aéroport, j’ai juste eu le temps de démonter certaines parties de Lublack, le protéger au mieux et voilà…l’Europe dans la poche on attaque l’Amérique du Sud.Pendant le vol je me suis mis à parler, avec la personne qui se trouvait à côté de moi, Jaime, et pour tuer le temps je décide de lui raconter mon projet.
De fil en aiguille on découvre que nous sommes naît le 12.05.1969 tous les deux, et avec 12 heures de décalage (moi à 12 A.M et lui à 12 P.M)…
On commence à ramasser nos jouets (moi Lublack et lui son toutou) et on se quitte, on se promettant de rester en contact à travers l’email.

Il est minuit, je suis arrivé avec une heure de retard. Mes amis Juan et Valeria sont là, comme promis. Bien venu à Buenos Aires, mieux que ça c’est impossible de faire.
Ils m’amènent chez eux et on se met à raconter nos expériences en vélo pendant des longues heures. Vers 4 heures du matin on décide de dormir un peu.