dimanche 22 février 2009

J652 – CHINE

HONG KONG - GUANGZHOU
Réveillé : 5h
Départ : 22h
Distance parcourue : 40 km
Distance totale : 37670 km
Temps : 2h20
Météo : nuageux, pluie ~ 20°C
État physique : bien
Moral : bien
Couché : 22h

Menu du jour: Fruits (goyaves, jaquier), Légumes (petit-pois, ail, carotte, tomates) Protéines (lait entier), Hydrates de carbone (nouilles, flocons d’avoine, marrons), Graisses (huile d’olive, amandes), Divers (Milo).

Résumé de l’étape: Le retard que j’ai pris avec la tenue à jour de mon journal m’enquiquinera pendant un moment mais peu importe, l’essentiel c’est que le laptop fonctionne parfaitement.

Le parcours: Hong Kong (Koolow) - Guangzhou.
On a passé la douane sans inquiétude.
En Chine quand ça cogne…ça donne soif…on est au milieu de l’autoroute.
C’est le moment des adieux et enfourcher mon vélo pour tracer enfin mon chemin dans ce vaste pays, qui sauf erreur, est plus grand que l’Europe.
Mon intention est d’aller à Guangzhou et en suite remonter par la côte jusqu’à Shanghai.
La destination finale étant Beijing…où il neige en ce moment.
Comment je vais faire pour y arriver?
Le shaolin n’a pas su me répondre. Moi je ne sais pas non plu (pour le moment) mais ce que je sais, c’est qu’il faut gonfler mes pneus.
Ce n’est pas du tout la Chine que j’ai connue (à travers leurs films soporifiques) dans ma jeunesse.
Occupe toi de Lublack…moi je vais faire le plein…j’en avais justement besoin.
Ma joie a été vite estompée par la pluie.
Guangzhou est la capitale de la province de Guangdong.
On estime sa population à environs 12 millions d’habitants.
Rouler en vélo est officiellement interdit et vu le trafic ça ne donne pas vraiment envie.
Ce n’est pas plus dangereux qu’ailleurs mais il ne faut pas se laisser «soustraire» par les publicités.
J’ai encore du mal à croire que ça c’est la Chine…
C’est dimanche après-midi et le magasin Rolex, dont la taille est impressionnante, est ouvert.
Demain je reviendrai par ici voir de plus près cette jeune réceptionniste, qui ne comprenait rien aux signes que je lui faisais depuis la rue.