mercredi 30 janvier 2008

J263 – VENEZUELA

CARACAS
Réveillé : 4h
Météo : soleil
État physique : au top
Moral : au top
Couché : 1h30

Menu du jour: Fruits (pêches), Légumes (tomate, petit-pois) Hydrates de carbone (pain, galettes intégrales, riz, pâtes), Protéines (viande de poulet), Graisses (huile d’olive), Divers (pizza).

Résumé de la journée: Ce matin je vais rendre visite à la filiale de Venezuela de mon entreprise.

Je ne sais pas si le prix extrêmement bas de l’essence (54l coutent 1$) à une influence sur la circulation, mais elle me semble pire qu’à Sao Paulo.
Le climat est très favorable tout le long de l’année, pourtant je n’ai vu aucune personne se déplacer en vélo. Ça va venir…cette aubaine du pétrole ne durera pas encore longtemps.
Surtout que le pays se trouve entre les mains de ce « phénomène Chavez », qui, on dirait, s’est donné comme objectif de mettre Venezuela dans un véritable pétrin.
Quel dommage, c’est une terre tellement riche, et le peuple vénézuélien est si gentil et accueillant.
En fin…je suis arrivé à El Cubo Negro.
A la fin de ma visite, j’ai été invité par un collègue, monter avec lui le Mont Avila – 2600m.
Pour ça il faut le suivre (c’est le motard) sur l’autoroute, complètement inerte à cette heure ci, pour aller chez lui, afin de déposer Lublack et me changer.
On y va en téléphérique, une honte pour deux sportif comme Antonio et Picirelo, mais c’était trop tard pour le faire à pied…et un peu de repos ne fera pas du mal, à mes jambes.
De retour j’ai pu prendre une photo de la ville, en haut le brouillard était extrêmement épais et on n’a rien pu voir. Dommage, de l’autre côté il semblerait qu’on a une superbe vue sur la mer des Caraïbes.
J’ai fini la soirée dans un resto italien en compagnie d’Antonio et Celeste son aimable épouse.
Picirelo avait vraiment besoin de se charger les batteries.
Alors, il a mangé un plat de pâtes, pour la jambe droite et une pizza pour la jambe gauche…
C’était aussi bon qu’en Italie…