mercredi 23 janvier 2008

J256 – VENEZUELA

SAN ANTONIO - RUBIO
Réveillé : 5h10
Départ : 13h
Distance parcourue : 27 km
Distance totale : 14’714 km
Temps : 2h20
Météo : soleil
État physique : bien
Moral : au top
Couché : 22h30

Menu du jour: Fruits (ananas, bananes, melon), Légumes (tomates, poivron, petit-pois), Hydrates de carbone (galettes, pain intégral), Protéines (fromage), Graisses (huile d’olive), Divers (tarte au poulet).

Résumé de l’étape: Hier soir pendant que je faisais un massage à Picirelo j’ai découvert qu’une tique était accrochée à sa fesse droite. Je pensais que ses fesses n’attiraient plus personne suite aux « événements » de ces derniers jours. Comme quoi…il y a des créatures prêtes à tout. Elle s’était accrochée avec un tel amour que j’ai eu du mal à l’arracher.

Le parcours: San Antonio del Táchira - Rubio.
Retardé par la mise à jour du blog et la recherche d’une banque pour remplir la tirelire, je ne pense pas faire longtemps de l’ombre à la route aujourd’hui.
A propos il faut chercher un peu d’ombre et…mettons, quand même, de la crème solaire.
Je n’ai pas envie d’avoir le pif qui pèle.
Justement j’avais un petit creux et en plus…un ananas ça coupe la soiffe également…n’est pas Madame ?
Elle dirait oui à tout pour se débarrasser de sa marchandise.
Il était aussi immangeable que ceux qu’on trouve dans nos supermarchés en Europe.
Ces formations surplombent la route, un peu partout, et sont des véritables bombes à retardement. Un écoulement de terre, peut se produire à n’importe quel moment…et quand je vois la taille du rochet qui peut me tomber sur la tête…
Regarde sur quoi tu roule de temps en temps Picirelo ! Panne à l’arrière, j’ai roulé sur des épines et je peux me déclarer chanceux que ça ne s’est pas produit à l’avant aussi.
A Rubio j’ai pris une petite chambre à l’Hôtel Rayan, j’ai fait quelques courses, une partie de la lessive et basta pour aujourd’hui.