jeudi 17 avril 2008

J341 – MEXIQUE

MEXICO
Réveillé : 6h30

Météo : nuageux AM, soleil PM ~ 18°C
État physique : bien
Moral : au top
Couché : 22h

Menu du jour: Fruits (mangues), Légumes (tomates, poivron, épinards) Hydrates de carbone (pain complet, pâtes), Protéines (lait demi-écrémé, ricotta), Graisses (huile d’olives), Divers (Sprite light, sauce tomate).

Résumé de la journée: C’est le moment d’aller voir une partie de cette ville, qui compte parmi les plus grandes au monde, plus de 18 millions d’habitants…Santa la Cleopatra !
Le Paseo de la Reforma traverse le centre ville de l’Est à l’Ouest.
Le centre peut être reparti en 3 secteurs : Polanco, Zona Rosa et le Centre Historique.
Considéré comme la ville la plus dangereuse au monde, la police est partout dans ces 3 zones.
Tout semble sous control, en tout cas dans le centre, pendant la journée, il n’y a aucun danger. Pas plus qu’ailleurs.
En ce qui concerne la vie nocturne, ce n’est pas Picirelo qui pourra vous donner ses impressions.
Comme toute petite créature, il a besoin de ses heures de dodo.
Au centre, cette grande avenue, Paseo de la Reforma, à trois grand carrefours.
Le premier c’est Diana.Le deuxième c’est l’Ange de l’Independence.
J’ai quitté pour un moment la grande avenue pour voir ce qui se passe dans les rues parallèles, ici dans Hamburgo (Zona Rosa).
Le troisième c’est le Palmier.
A partir d’ici commence le Centre Historique que je visiterai samedi.
Mon intention de faire tout à pied est vite tombée à l’eau car il faut vraiment marcher beaucoup. Alors j’ai pris le bus, le bateau me semblait un peu lent.
De toute façon comme le bus ne peut pas aller très vite, à cause des embouteillages, on peu voir une partie en étant assis.
C’est impossible de voir le centre de Mexico en une journée.
A mon avis il faut compter minimum 3 jours, si on veut juste se faire une idée du centre, plus exactement les trois zones mentionnées.
Autrement il faut prévoir une semaine.
C’est le poumon industriel du pays, tout le bisness est centralisé dans la capitale, par conséquent les gens quittent la paisible vie de campagne en venant à Mexico à la recherche d’une autre qui ressemblerait à celle des « telenovelas ».
Quelques uns réussissent, mais à quel prix ?
Une fois rentré dans l’engrenage du matérialisme, on signe un contrat à vie avec le stresse…qu’ils essayent de noyer tous les soirs dans un verre de tequila ou Corona.
Considéré comme une zone séismique à haut risque, je suis surpris du fait qu’on ose construire des immeubles aussi élevés. Espérons que tout restera debout au prochain, car malheureusement il y aura, selon les scientifiques, un prochain.