mardi 15 avril 2008

J339 – MEXIQUE

MEXICO
Réveillé : 4h10
Météo : nuageux AM, soleil PM ~ 18°C
État physique : bien
Moral : au top
Couché : 24h

Menu du jour: Fruits (bananes), Légumes (tomates, poivron, oignon, cactus) Hydrates de carbone (tortillas, céréales complètes, riz complet, flageolet, pain complet), Protéines (lait demi-écrémé, viande de poulet), Graisses (huile d’olives, cacahuètes), Divers (coca-cola light, pollen).

Résumé de la journée: Ce matin je vais aller rendre visite à mes collègues de Mexico.

Sacré Gringo, c’est ici que tu te caches ? Dit donc, pourquoi tant de haine ?
Si tu savais comment ça me fatigue ce surnom…que je t’attribue au passage…moi c’est Picirelo point. Heureux de t’avoir croisé…c’était le moment de m’en débarrasser.
Il faut être très prudent à Mexico avec les automobilistes.
Un faut pas et c’est terminé, on dirait que ces conducteurs ne vont jamais à pied nulle part.
Picirelo est arrivé à la Tore Paseo dans la rue Ejercito Nacional…évidemment ça ne vous dit pas grand-chose, mais pour moi ça veux dire énormément.
Ouffff longue fut la route depuis Caracas!

On y va…les valets à droite les cyclistes à gauche…

Avec cette circulation affolante, c’est normal que la pollution soit très élevée, autant dire que faire du sport à l’extérieur, doit être plu néfaste pour la santé, que si on ne faisait rien.
Gonzalo, un collègue de travail m’a amené à l’Hôpital de Mexico, afin d’avoir un nouveau contrôle de ma cheville.
J’ai eu la chance de tomber sur un « vrai médecin » qui a compris ce qui s’est réellement passé avec ma cheville, suite à mon accident. Je dois prendre du Neurontin (300mg 2 fois par jour pendant 1mois) afin d’aider le nerf à se reconstruire. La bonne nouvelle c’est qu’à partir de maintenant, je peux faire des efforts normalement. Même courir si j’ai envie.
Le soir j’ai été invité à voir l’exposition de photos, d’un artiste canadien.
Ça a eu un immense succès à Mexico, plus de 6 millions de visiteurs…et le publique afflue encore en ce moment.
Les photos sont très belles rien à dire. Seulement pour bien les apprécier, à mon avis, il faut faire semblant de ne pas connaître le monde des animaux.
Malheureusement, on a beau à leur lire « des poèmes », ces derniers jouent les protagonistes, suite a la torture que l’homme leur a infligée, au début de leur relation.
Raison pour laquelle je déteste le cirque et j’espère que dans un futur proche, on interdira les spectacles avec des animaux sauvages…soit disons dressés.