samedi 10 novembre 2007

J182 – CHILI

VALPARAISO - MAITENCILLO
Réveillé :
5h20
Départ : 10h
Distance parcourue : 75 km
Distance totale : 10’499 km
Temps : 4h40
Météo : soleil, froid 13°C
État physique : au top
Moral : au top
Couché : 22h

Menu du jour: Fruits (chirymoilla, bananes, pommes), Légumes (poivron, carotte, ail, avocat, salade), Hydrates de carbone (pain intégral, pitas intégrales, gaillettes de mais, mais soufflé), Protéines (lait écrémé), Graisses (huile d’olives, noix de cajou).

Résumé de l'étape: Etant donné que j’ai dormi comme un rat dans une chambre sans fenêtre je n’ai aucune idée du temps qu’il fait dehors. Je découvre avec joie qu’il fait beau.

Le parcours : ValparaisoMaitencillo.
Valparaiso, c’est la deuxième ville de Chili, alors ça mérite faire un tour pour la découvrir.
Les maisons sont suspendues sur les collines qui entourent le centre ville.
Plaza Italia. Fait les choses comme il faut mon vieux ! Ce pays, bien que je ne puisse pas dire auquel j’appartiens réellement, est toujours dans mon cœur. Sa langue, en revanche, je persiste à dire, que c’est la plus belle au monde…désolé pour les autres…mais c’est comme ça. Et puisqu’on est au chapitre du must, Rome est de loin la plus belle ville au monde…Je l’ai toujours dit, et je suis bien curieux de voir si à la fin, ce voyage me fera changer d’avis.
Plaza Victoria.
Ce spécimen a besoin de sa bouteille pour être heureux…
…celui-ci, en revanche, se laisse enivrer par la beauté du Pacifique…
…que je n’ai pas eu la force de saluer hier soir.
En longeant la côte je suis arrivé à Viña del Mar.
Une station balnéaire, remplie d’hôtels.
Le Casino.
Voilà ce fut la dernière grande ville, à partir de maintenant il y aura que des villages.
Je ne sais pas par quel miracle j’ai le vent dans le dos.
Chose très rare, pour qu’elle ne soit pas mentionnée.
Poverino…où il a fait ça maison. Il a même une petite piscine…l’océan ne lui suffisait pas…
De l’autre côté de la route…ne doivent pas être à plaindre non plus…
Moi je gèle et les pélicans se la grattent, ou plutôt, se la plument au soleil…impassiblement.
C’est pas mal, comme cadre, pour mon déjeuner.
Le Picirelo, là-bas au fond, fait de même avec un autre type de lait, que je n’ai pas eu l’occasion de déguster jusqu’à présent.
Le splendide village Maitencillo n’as pas d’hôtels.
Ici vous pouvez loger que dans des maisons ou bungalows.
Pendant que les surfeurs rêvent encore la vague de la journée, je rêve me trouver au plus vite un bungalow.
Difficile car tout est conçu plutôt pour des familles, mais à Cabanas Abanico (tél.0322771141) j’ai pu en avoir un petit.