J433 – CANADA
IRON BRIDGE – SERPENT RIVER
Réveillé : 5h10
Départ : 9h40
Distance parcourue : 74 km
Distance totale : 25524 km
Temps : 4h10
Météo : soleil ~ 30°C
État physique : au top
Moral : bien
Couché : 21h
Menu du jour: Fruits (pommes, bananes, ananas), Légumes (petit-pois, tomates, carottes) Hydrates de carbone (céréales intégrales, pitas intégrales, maïs), Protéines (lait demi-écrémé, cottage, parmesan), Graisses (amandes), Divers (cacao).
Résumé de l’étape: Au milieu de la nature le silence est tel…qu’on entend même les fourmilles se baladant.
Réveillé : 5h10
Départ : 9h40
Distance parcourue : 74 km
Distance totale : 25524 km
Temps : 4h10
Météo : soleil ~ 30°C
État physique : au top
Moral : bien
Couché : 21h
Menu du jour: Fruits (pommes, bananes, ananas), Légumes (petit-pois, tomates, carottes) Hydrates de carbone (céréales intégrales, pitas intégrales, maïs), Protéines (lait demi-écrémé, cottage, parmesan), Graisses (amandes), Divers (cacao).
Résumé de l’étape: Au milieu de la nature le silence est tel…qu’on entend même les fourmilles se baladant.
Le parcours: Iron Bridge – Serpent River.
J’ai pris mon petit-déjeuner dans ce lieu magique en compagnie d’un martin-pêcheur, ma bernache est partie voir ailleurs pendant la nuit.
La route suit le cours de la rivière Mississagi. Comme la chaleur est assez forte j’ai pensé que se mettre un peu à l’écart, en cherchant un coin tranquille à l’ombre, sera une bonne idée.
Et voilà sur quoi je suis tombé…manger de l’esturgeon…ça m’aurait bien plu.Malheureusement il est pour les indiens…les seuls à avoir le droit de le chasser.
La manière à laquelle ils l’ont pris…on ne peut pas l’appeler de la pêche.Vous essayer de faire de même…vous finissez derrière les barreaux.
Le gaillard a quand même du batailler avec le monstre et il s’est pris un coup sur le front, qui a faille le coûter l’œil gauche.
Il a eu la veine, d’avoir que l’arcade ouverte et je l’ai soigné…un peu à la manière de ses ancêtres. Désinfecter la plaie avec de salive et par chance il me restait un sparadrap dans mon sac.
Ce n’est pas beau tout ça…si j’étais un papillon…on aurait papillonner ensemble…
…mais je suis Picirelo et il faut que je pédale…jusqu’à ce que la fatigue me pousse à m’arrêter.
Le Motel Kennebec a fermé ses portes, cependant Marry a eu la gentillesse de me donner une chambre.
