samedi 29 septembre 2007

J140 – ESPAGNE

ALBACETE – MADRID
Réveillé :
5h15
Météo : nuageux
État physique : au top
Moral : au top
Couché : 2h30

Menu du jour: Fruits (raisin, figues), Légumes (poivrons, tomates), Hydrates de carbone (biscuits, galettes intégrales de riz et mais, cornflakes, pain intégral), Protéines (jambon, fromage light), Graisses (noix, huile d’olive), Divers (coca-cola light).

Résumé de la journée: Il pleut, heureusement que la gare n’est pas loin de l’hostal. En plus il faisait encore nuit à 7h quand je suis parti.

Picirelo rencontre dans le train un groupe de cyclistes, parti pour se faire un tour dans la campagne (le retour) à travers des petits chemins.
Plaza de Castilla.Je n’ai pas eu le temps de descendre du train à la Gare Atocha (qui été à deux pas de mon hostal) et du coup je me retrouve à la Gare Chamartin, à 7 km de l’hostal. On va dire qu’il me manqué le sprint final dans la Casteillana.
Pour les amateurs de foot (pas du tout mon cas…désolé…mais le sport se pratique dans la nature et pas devant la télé…) le Stade de Real de Madrid (Bernabeu).
Botero, ça vous dit quelque chose?
Elle est quand même impressionnante cette grande avenue qui traverse toute la ville de Madrid. Ça roule très vite et on va dire que je ne manque pas d’aspiration…
Picirelo est arrivé avec un peu de retard à l’Hostal Alguilar (tel.0034914295926), du coup Madame est déjà là, alors en attendant que la chambre se libère …elle s’est trouvée une occupation.
On laisse nos affaires dans la chambre et on commence la visite.
La Plaza Mayor.
Le temps n’est pas génial mais au moins il ne pleut plu.
La Cathédral Almudena.
A l’intérieur, côté orgue.
A l’opposé.
La religion catholique joue un rôle très important dans la culture espagnole, et ça se perçoit immédiatement, dans n’importe quelle petite église.
L’impressionnant Palacio Real, un authentique musée à l’intérieur.
Une partie des jardins des Sabatini.
Voilà ce que Lenin tenait dans son ventre. Le communisme. Le monde qui m’a vu naître et auquel je ne sais pas si j’ai réellement appartenu un jour.
Dans les jardins.
C’est lequel mon Titi ? Je crois bien que je l’ai perdu…
Je craignais que j’allais quitter l’Espagne sans avoir fait une photo des jeunes mariés.
Voilà, c’est fait. Picirelo content.
Je n’ai pas le souvenir d’avoir vu une église en Espagne…sans La Santa Madona.
On finit la soirée en beauté, par un spectacle de flamenco. Je suis mort de fatigue, pour un matinal la vie nocturne espagnole est un défi en soi.