J173 – BRESIL
CAMPO MOURAO - FLORESTA
Réveillé : 4h30
Départ : 9h20
Distance parcourue : 70 km
Distance totale : 10'081 km
Temps : 4h20
Météo : soleil AM, pluie PM
État physique : au top
Moral : au top
Couché : 22h30
Menu du jour: Fruits (papayes, pommes, bananes), Légumes (poivron, tomates, oignons, ail, persil), Hydrates de carbone (pain intégral, biscuits), Protéines (jambon, fromage, lait entier), Graisses (huile d’olives, cacahuètes).
Résumé de l’étape: En fait, mon hôtel, était au centre ville. Hier soir je me croyais perdu quelque part dans la périphérie. Subséquemment, il faut que je profite ce matin de faire une petite visite.

Pas de problème, Picirelo à retrouver son appétit…
Je vous garantie, que tout seul, au milieu d’une nature qui se déchaine, même le plus grand athée pense à lui…
Il n’est ni blanc avec des yeux bleu, ni noir, ni gris ni jaune…et n’appartient à aucune religion…
C’est simplement ça…la NATURE qui nous entoure…et qui nous dominera toujours. Elle donne et enlève la vie selon ses lois…qu’il ne faut, évidemment, jamais transgresser.
Même dans ces moments où elle est en colère…je la trouve splendide et elle me fascine…
Cependant en tant que cycliste je déteste la pluie. Etre mouillé jusqu’à l’os, comme ce fut le cas ici, rouler sans savoir quand on trouvera un abris…La boue qui colle partout, les camions qui vous aspergent avec la saleté de la route…C’est dans des moment comme celui-ci que vous pouvez mesurer votre réelle motivation…et dans mon cas elle est la même Au Top.
Assez écrit pour aujourd’hui, le repos à la Pension Floresta, fut plus que céleste, pourvu que tout sèche et que demain on roule sur du sec.
Même dans ces moments où elle est en colère…je la trouve splendide et elle me fascine…
Cependant en tant que cycliste je déteste la pluie. Etre mouillé jusqu’à l’os, comme ce fut le cas ici, rouler sans savoir quand on trouvera un abris…La boue qui colle partout, les camions qui vous aspergent avec la saleté de la route…C’est dans des moment comme celui-ci que vous pouvez mesurer votre réelle motivation…et dans mon cas elle est la même Au Top.
Assez écrit pour aujourd’hui, le repos à la Pension Floresta, fut plus que céleste, pourvu que tout sèche et que demain on roule sur du sec.