
Pour ma part, j’ai eu la chance que
José, un collègue de travail, m’ait amené en voiture, qui mérite une photo, car à vrai dire, je n’ai pas le souvenir d’avoir mis mes pieds dans une de cette taille.

On se dirige comme les autres visiteurs vers la
Pirámide de la
Luna, à travers l’immense
Calzada de
los Muertos dont la longueur est de 4km.

Une petite pause dans la
Plaza de la
Luna, avant de s’attaquer aux 115 escaliers.

On les appelle des pyramides, mais en fait elles ne le sont pas. Une vrai pyramides n’a pas des
paliers, comme celles-ci, et sauf erreur pas d’escaliers, non plus.

Ce fût que l’échauffement, celle du Sol a 240 escaliers, il me semble. Depuis ici on a une parfaite vue sur la
Calzada de
los Muertos, qui normalement commence ici, et
Pirámide del Sol.

Cette fresque, représentant un puma, a été découverte seulement en 1963 pendant les explorations archéologiques.

On passe aux choses plus sérieuses, croyez moi il faut avoir des bonnes jambes pour le faire rapidement.
José me raconte que beaucoup de gens viennent ici le jour de l’équinoxe du printemps pour voir le levé du Soleil. Ce rituel ancestral est supposé comme une recharge en énergie. Moi je dirais que ça décharge pas mal pour arriver au sommet.

Il y a un petit musée, que je ne sais pas si c’est mieux de le visiter au début ou à la fin de sa visite.

Nous on l’a fait à la fin.

Ça papote et ça rigole…pour l’éternité…

La
tete de la
Serpiente Emplumada,
Quetzalcoatl.

Le monument en la mémoire du
Quauhtemoc et les guerriers qui combattirent héroïquement en défendant leur patrie. On est de retour dans la
Calzada de
los Muertos des temps moderne,
Paseo de la Reforma. Ironiquement je dirais que le Temple du Soleil a été remplacé par la
Torre Major…on veut s’approcher du Soleil…toute en sachant
qu’il peut vous
brûler les ailes à n’importe quel moment.

Le monument du
Colomb.
Ce personnage symbolise, à mon avis, le changement radical de l’Amérique Latine.
Et s’il serait arrivé vraiment en Inde, quel langue on aurait parlée en ce moment par ici ?
C’est drôle comme un mauvais navigateur peut être à l’origine d’un grand chamboulement dans un continent si immense.
Bon
Picirelo arrête de philosopher, on va se coucher, demain ce n’est pas une journée de tout repos qui nous attend.