J122 – FRANCE
PERPIGNAN - PORTBOU
Réveillé : 7h
Départ : 8h
Distance parcourue : 64 km
Distance totale : 7472 km
Temps : 3h50
Météo : soleil.
État physique : au top
Moral : au top
Couché : 22h
Menu du jour: maïs, poivron, courgette, tomates, pomme, lait demi-écrémé, poires, persil, biscottes intégrales, huile d’olive, fromage light, raisin, all-braun.
Résumé de l’étape: J’ai pu dormir assez bien pendant le long voyage. Finit avec le froid, la chaleur est déjà présente à cette heure matinale. Je n’ai qu’un envie d’aller prendre mon petit-déjeuner au bord de la mer. Par conséquent, la visite de Perpignan sera supprimée du program de la journée.
Le parcours : Perpignan - Portbou.
Arrivé à Argelès, Picirelo a droit à son petit-déjeuner face à la mer.
Objectif de la journée arriver en Espagne et NAGER.
Plus que trois villages au long de la côte avant de dire au revoir à la France.
Ils sont un plus beau que l’autre.
Et ça me donne presque envie de m’arrêter.
Arrivé à Argelès, Picirelo a droit à son petit-déjeuner face à la mer.
Objectif de la journée arriver en Espagne et NAGER.
Plus que trois villages au long de la côte avant de dire au revoir à la France.
Ils sont un plus beau que l’autre.
Et ça me donne presque envie de m’arrêter.
Mais je dois absolument me remettre à l’espagnol. Car se sera mon unique langue pendant les quelques mois à venir.
On appelle le parcours que j’ai fait aujourd’hui la route du vin, en effet il y a des panneaux « dégustation » un peu partout.
Comme je ne bois pas du tout du vin je propose à Picirelo qu’on « déguste » la matière première, et si elle est bonne on peut déduire, logiquement, que le vin soit de bonne qualité.
On commence avec du raisin blanc, en suite du noir et comme c’est difficile de dire stop au bon moment…
…je me retrouve avec un ventre plein à craquer, à traverser le premier col dans les Pyrénées.
Juste avant la symbolique frontière, Picirelo quémande une pause … et voilà qu’il s’endorme à l’ombre d’un vieux pin.
On appelle le parcours que j’ai fait aujourd’hui la route du vin, en effet il y a des panneaux « dégustation » un peu partout.
Comme je ne bois pas du tout du vin je propose à Picirelo qu’on « déguste » la matière première, et si elle est bonne on peut déduire, logiquement, que le vin soit de bonne qualité.
On commence avec du raisin blanc, en suite du noir et comme c’est difficile de dire stop au bon moment…
…je me retrouve avec un ventre plein à craquer, à traverser le premier col dans les Pyrénées.
Juste avant la symbolique frontière, Picirelo quémande une pause … et voilà qu’il s’endorme à l’ombre d’un vieux pin.