ALBACETE – MADRID
Réveillé : 5h15
Météo : nuageux
État physique : au top
Moral : au top
Couché : 2h30
Menu du jour: Fruits (raisin, figues), Légumes (poivrons, tomates), Hydrates de carbone (biscuits, galettes intégrales de riz et mais, cornflakes, pain intégral), Protéines (jambon, fromage light), Graisses (noix, huile d’olive), Divers (coca-cola light).
Résumé de la journée: Il pleut, heureusement que la gare n’est pas loin de l’hostal. En plus il faisait encore nuit à 7h quand je suis parti.
Picirelo rencontre dans le train un groupe de cyclistes, parti pour se faire un tour dans la campagne (le retour) à travers des petits chemins.
Plaza de
Castilla.Je n’ai pas eu le temps de descendre du train à la Gare
Atocha (qui été à deux pas de mon
hostal) et du coup je me retrouve à la Gare
Chamartin, à 7 km de l’
hostal. On va dire
qu’il me manqué le sprint final dans la
Casteillana.

Pour les amateurs de foot (pas du tout mon cas…désolé…mais le sport se pratique dans la nature et pas devant la télé…) le Stade de
Real de
Madrid (
Bernabeu).
Botero, ça vous dit quelque chose?
Elle est quand même impressionnante cette grande avenue qui traverse toute la ville de
Madrid. Ça roule très vite et on va dire que je ne manque pas d’aspiration…
Picirelo est arrivé avec un peu de retard à l’
Hostal Alguilar (tel.0034914295926), du coup Madame est déjà là, alors en attendant que la chambre se libère …elle s’est trouvée une occupation.

On laisse nos affaires dans la chambre et on commence la visite.

La
Plaza Mayor.

Le temps n’est pas génial mais au moins il ne pleut plu.

La
Cathédral Almudena.

A l’intérieur, côté orgue.

A l’opposé.

La religion catholique joue un rôle très important dans la culture espagnole, et ça se perçoit immédiatement, dans n’importe quelle petite église.

L’impressionnant
Palacio Real, un authentique musée à l’intérieur.
Une partie des jardins des
Sabatini.

Voilà ce que
Lenin tenait dans son ventre. Le communisme. Le monde qui m’a vu
naître et auquel je ne sais pas si j’ai réellement appartenu un jour.

Dans les jardins.

C’est lequel mon Titi ? Je crois bien que je l’ai perdu…

Je craignais que j’allais quitter l’
Espagne sans avoir fait une photo des jeunes mariés.
Voilà, c’est fait.
Picirelo content.

Je n’ai pas le souvenir d’avoir vu une église en
Espagne…sans La
Santa Madona.

On finit la soirée en beauté, par un spectacle de flamenco. Je suis mort de fatigue, pour un matinal la vie nocturne espagnole est un défi en soi.