J224 – EQUATEUR
SANTA ROSA - NARANJAL
Réveillé : 5h10
Départ : 9h
Distance parcourue : 114 km
Distance parcourue : 114 km
Distance totale : 12’464 km
Temps : 6h
Temps : 6h
Météo : nuageux A.M, soleil P.M
État physique : au top
État physique : au top
Moral : au top
Couché : 22h
Menu du jour: Fruits (bananes, pêches, papaye, ananas, guaba), Légumes (poivron) Hydrates de carbone (pain), Protéines (fromage), Divers (humitas).
Résumé de l’étape: Finalement je peux dire que je suis à nouveau dans un pays chaud. La température est vraiment agréable pendant la nuit, ce type de climat m’a beaucoup manqué. L’unique inconvénient sera la pluie, mais si je peux éviter les montagnes peut-être j’en aurai un peu moins.
Couché : 22h
Menu du jour: Fruits (bananes, pêches, papaye, ananas, guaba), Légumes (poivron) Hydrates de carbone (pain), Protéines (fromage), Divers (humitas).
Résumé de l’étape: Finalement je peux dire que je suis à nouveau dans un pays chaud. La température est vraiment agréable pendant la nuit, ce type de climat m’a beaucoup manqué. L’unique inconvénient sera la pluie, mais si je peux éviter les montagnes peut-être j’en aurai un peu moins.
Le parcours: Santa Rosa - Naranjal.
En ville j’ai essayé de retirer de l’argent et pendant quelques minutes, j’ai cru que j’allais me retrouver sans carte de crédit. L’appareil refusait de me la rendre et comme c’est fermé…bonjour l’angoisse. Finalement elle est sortie. Tant pis si je passerai Noël seulement avec 100$ dans la poche.
Voici la guaba, dedans il y des gros pépins enrobés dans une mousse cotonneuse très succulente.
C’est un excellent fruit, un peu difficile à ouvrir, mais l’effort en vaut la peine.
Je ne pensais pas voir des iguanes par ici, et encore moins de cette taille. 
La route continue au bord de la montagne, où certainement il pleut. Je suis sorti des plantations de bananes et je me retrouve avec des arbres de cacao.
Voici la guaba, dedans il y des gros pépins enrobés dans une mousse cotonneuse très succulente.C’est un excellent fruit, un peu difficile à ouvrir, mais l’effort en vaut la peine.
Je ne pensais pas voir des iguanes par ici, et encore moins de cette taille. Un très bel exemplaire.
La route continue au bord de la montagne, où certainement il pleut. Je suis sorti des plantations de bananes et je me retrouve avec des arbres de cacao. L’Equateur est grand producteur de ces deux fruits.
Les petits villages de ce style n’ont pas d’hébergements ce qui m’oblige à aller jusqu’à la prochaine ville.
Ça ne me dérange pas du tout car je me sens vraiment en forme. L’unique inconvénient c’est ce terrible trafic avec sa pollution.
En arrivant à Naranjal j’ai eu la chance de trouvé rapidement l’Hôtel Delicias (tel042750981).
Grande fut ma surprise en voyant que mon voisin c’était un cycliste. Un canadien de Vancouver de 63 ans à la retraite, qui parcourt le monde, en long et en large, inlassablement depuis 20 ans.
Les petits villages de ce style n’ont pas d’hébergements ce qui m’oblige à aller jusqu’à la prochaine ville.
Ça ne me dérange pas du tout car je me sens vraiment en forme. L’unique inconvénient c’est ce terrible trafic avec sa pollution.
En arrivant à Naranjal j’ai eu la chance de trouvé rapidement l’Hôtel Delicias (tel042750981).Grande fut ma surprise en voyant que mon voisin c’était un cycliste. Un canadien de Vancouver de 63 ans à la retraite, qui parcourt le monde, en long et en large, inlassablement depuis 20 ans.
